À propos

L’Isle-aux-Coudres, petite île qui se la coule douce au milieu du majestueux Fleuve St-Laurent dans Charlevoix, c’est une destination famille, une invitation à décrocher! C’est 360° de paysages à admirer, d’horizons changeants au fil des marées, de levers et couchers de soleil époustouflants. C’est une bouffée d’air salin et de bon vent, une route bordée de fleurs sauvages ou de battures glacées. C’est quelques 1400 « marsouins », surnom amical donné à ses habitants, qui vous partagent leur histoire, leur passion, leur savoir-faire et qui ont hâte de vous accueillir!

Des valeurs ancrées

Depuis les premières familles à prendre racine en 1720, ce sont des générations de bâtisseurs et de défricheurs qui ont apprivoisé l’insularité avec créativité , courage et fierté. Le premier traversier arrive en 1930, et celui d’hiver qu’en 1959 . C’est donc avec des canots à glaces que le lien avec le continent est maintenu pendant longtemps. Ce sont aujourd’hui des fils et filles de marins, de constructeurs de goélettes ou d’agriculteurs qui poursuivent , réinventent et partagent leur histoire !

Des horizons inespérés

En 1963, le cinéaste Pierre Perreault débarque sur l’Isle, à la rencontre de personnages plus grands que nature. En ressortira la « Trilogie de l’Isle-aux-Coudres », regroupant trois documentaires ,dont le premier, Pour la suite du monde, co-réalisé avec Michel Brault, est considéré comme une œuvre pionnière du cinéma direct, et comme un chef d’œuvre du cinéma québécois et canadien. Aujourd’hui encore, les beaux discours de Grand Louis et Alexis colorent notre culture !

Marsouins modernes

On retrouve de nos jours sur l’isle toute la qualité de vie qu’on peut attendre de notre époque, dans une environnement à faire rêver. Une école primaire et secondaire, un CPE, une multitude de services variés, professionnels et communautaires, qui répondent aux besoins des plus petits au plus âgés. C’est aussi une communauté tissée serrée qui déploie avec générosité des initiatives et comités pour bonifier notre vie ici à l’année. Ne soyez pas gênés d’aborder un « marsouin » lors de votre visite, ils sont reconnus pour très sympathiques !